All recent searches will be deleted. Tout ce que je peux vous dire c’est qu’il y aura du nouveau prochainement. Tous les articles thameurmekki. J’étais sur la même longueur d’onde que tous les membres du groupe. Ces Montagnes Russes ont des pentes à 90 Degrès:

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Comme vous le savez, maintenant tout le monde fait du rap, après la révolution, la culture Hip Hop s’est transformée en industrie. Une femme brise la vitre d’une voiture pour sauver une fillette enfermée par plus de 40 degrés! C’était du pur hasard. Bizarre et très grave et maladif. Tous les articles thameurmekki.

Férid El Extranjero l’étranger est parmi les premiers rappeurs tunisiens, c’est un symbole de toute une génération. Il a contribué avec beaucoup d’autres, bien évidement, à la propagation de la culture Hip Hop en Tunisie. Si on commençait par les débuts, pouvez-vous nous parler de votre adolescence?

La vérité c’est que mes premiers pas n’étaient pas avec le rap mais avec le raï et le mézoued. D’ailleurs, j’étais un grand fan de Cheb Hasni.

Je garde vraiment de très bons souvenirs de cette époque. Des genres musicaux comme le raï et le mézoued aident-ils le rappeur à créer son propre style? Pour créer son propre style, il faut vraiment avoir une vraie culture musicale. Tatkina sont ceux qui s’enferment dans un seul genre, sous prétexte que le mézoued, par exemple, ne peut pas aider à améliorer leur style.

Je ne suis pas du tout de cet avis. Depuis votre premier texte à 13 ans, vous avez continué avec le rap. Racontez-nous votre parcours en tant que jeune rappeur. Fin des années 80 et début des années 90, j’écoutais du rap français, essentiellement MC Solar l’un des piliers du rap français et en Tunisie, il y avait txrkina Sélim El Arnaout. Depuis les années 90, le mouvement Hip Hop s’est imposé dans le pays et les rappeurs bénéficiaient de peu d’importance.

Il est vrai qu’on s’adressait à un public bien déterminé, vu la violence des textes, mais on a réussi à participer à un concert enc’était à Tunis. Le rap avait pris sa place et attirait les jeunes qui étaient fascinés par cette nouvelle musique.

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Pour résumer, les rappeurs habitaient tous les quartiers de la capitale, il y avait le groupe Awled Bled de Balti et le mien, Filozof. Enun concert a été diffusé en direct sur la chaîne Al Oufo, c’était dans une salle à l’avenue de Paris, à Tunis. Après les années 90, vous avez choisi de quitter le pays et beaucoup de choses ont changé, depuis Je voulais changer d’air et surtout avoir de nouvelles opportunités.

La musique était ma seule compagne de route. Je me suis concentré sur mes objectifs et je me suis préparé à lutter pour les réaliser. L’Italie puis la France, après je me suis installé en Espagne et dernièrement j’ai déménagé en Allemagne.

Farid El Extranjero – 3bed Fi Tarkina 360 Degres | (فريد الإكسترانخيرو (هذي قصة عباد في تاركينة

C’est en Espagne que votre expérience avec Delahoja va commencer. C’était du pur hasard. Enje travaillais sur un chantier et un ami m’a dit connaître un groupe de rap. Sans hésiter, je me suis lancé avec eux et on a commencé à faire du bon travail. A cette époque, je me suis concentré sur les chansons de Section d’Assaut et Explicit Samouraï.

Aviez-vous des problèmes de communication avec eux? Oui, surtout au début mais après on s’habitue. C’est le secret de la musique, c’est un langage universel.

3bed fi 4 – video dailymotion

J’étais sur la même longueur d’onde que tous les membres du groupe. Je considère le rap comme une arme contre la répression. J’ai pris le risque puisque j’avais une famille mais j’avais pris ma décision à l’époque et c’était vraiment une aventure.

Avez-vous une idée de la scène du rap en Tunisie? Comme vous le savez, maintenant tout le monde fait du rap, après la révolution, la culture Hip Hop s’est transformée en industrie. Mon rap à moi, c’est celui des années 80 et 90, le rap audacieux qui était contre le pouvoir.

La majorité des rappeurs tunisiens sont fascinés par les egotrips. Etes-vous en contact avec des rappeurs tunisiens? Balti est un ami.

Comme je l’ai déjà évoqué je le considère comme l’un des piliers du rap tunisien, maintenant il fait du « rap commercial » mais c’est son choix je ne peux que l’encourager. Oui, l’idée du clip est la mienne, le Beatmaker Kamikazi a préparé la musique et j’ai écrit le texte. On a contacté un réalisateur allemand qui s’appelle Roman et on a commencé le tournage.

Le clip est tarkiba duo avec Black Tunisi mais Férid a écrit tout le texte et a choisi les tarkima de tournage.

La musique et le rythme sont inspirés du groupe français NTM. Quels sont vos projets?

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Ce sera une surprise. Tout ce que je peux vous dire vi qu’il y aura du nouveau prochainement. Férid Férid El Extranjero, symbole d’une génération 02 janvier